Communication
A l’ère des réseaux sociaux, du microblogging et des crises réputationnelles à répétition, “bien communiquer” est devenu un enjeu d’envergure, et ce tant pour les organisations que pour les individus. Dans ce contexte, il apparaît capital de se départir de cet imaginaire collectif qui voudrait que la com’ soit simplement l’affaire du service marketing et ne demeure, au fond, qu’une basse besogne. Non, la communication n’a rien de vulgaire ; et non, la communication n’a rien d’un jeu d’enfants. La communication est un art qui se doit simplement de retrouver ses lettres de noblesse.
De la dualité des crises réputationnelles
A l’ère de l’hyper-libéralisation du marché de l’information, la crise réputationnelle apparaît comme l’une des principales menaces pour les entreprises et personnalités publiques. Mais, concrètement, de quoi parle-t-on quand l’on dit « crise réputationnelle » ? D’ailleurs, les crises réputationnelles sont-elles toujours de même nature ? Et, bien sûr, comment y répondre ?